Feuilleton des alpes aux Rocheuses épisode 6 : La Guadeloupe
La Guadeloupe l’ ile papillon aux reliefs merveilleux. Je me vois encore tourner autour de la soufrière ou me baigner dans des eaux bleues, manger de la glace faite maison à la pointe des châteaux… voilà pour le classique mais il met aussi arriver beaucoup d’autres aventures. Je me suis fait traiter de raciste pour ne pas avoir laisser passer une femme sur un passage protégé; j’ai crée l’étonnement sur une plage « de noirs. Une petite fille semblait ébahie par la blancheur de ma peau. Sa mère toute gênée, ne savait pas quoi répondre à sa fille. Elle insistait pour savoir pourquoi j’étais blanc. Humour et rire me permis de partager un moment extraordinaire d’échange autour d’un barbecue sur la plage. Aux programmes rhum et langoustes grillées.
Autre aventure en plein foret tropicale : au croisement de deux chemins je tombe né à né avec une collègue de la fac de grenoble. Je me suis aussi retrouvé au milieu de nul part en pleine région montagneuse. Si le chauffeur du bus ( il s’arrête partout) ne m’avait pas dit qu’il partait dans 10 minutes et qu’il était le dernier à quitter ce village je me serai retrouver la sans rien à 17 heures. Les soirées le samedi entre médecins et personnels de l’hôpital. A chaque fois dans des villas ou des maisons loin de tous. On sortait les enceintes sur la pelouse et hop… zouk … à volonté.
Je ne comprends toujours pas comment on peut être raciste et travailler en Guadeloupe. Ma patronne était une blanche qui dirigeait d’une main de fer un service de noir. Elle vivait dans son quartier blanc, cour de tennis pour blanc, maison dans un quartier blanc… je comprends mieux le contexte parfois tendu de cette île.
Êtes vous déjà aller chercher vos bagages dans les soutes de l’avion par suite de grève! Cela met arrivé pour cause de grève. Je n’avais jamais imaginé que l’on pouvait construire un deuxième pont pour maintenir le trafic malgré les grèves. L’état francais a oublié les habitants. Lorsque je regardai l’état de délabrement des bâtiments publics ( poste, préfecture) j’avais honte d’être francais. D’un autre coté le RMI fait des heureux et n’incite pas aux travail.
Voilà en bref mes impressions sur la Guadeloupe après 3 mois
photographie : les chutes du Carbet juillet 2000 par Loic
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