La francophonie En ouvrant l’oreille, au delà du brouaa de l ‘heure de pointe dans les transports en commun, on entend quelques sonorités familiaires.. Une phrase québecoise, un mot francais ou belge , un accent acadien ou du nouveau brunswick mais aussi un timbre africain ou encore plus surprennant de l’Europe de l’Est. Une symphonie unique et magique loin de tout sectarisme et des idées récues. La francophonie s’exprime dans sa plus belle diversité.
A Vancouver, la francophonie s’exprime sans honte ni arrogance; elle existe simplement et fait partie du paysage de la province aux même titre que les langues asiatiques; elle a un petit plus, car comme l’anglais, elle est langue officielle. Elle reste aussi une minortié.
Réactions francophone
Je réagis aux propos de Francis Jacquart sur le blog de France24
premières réactions . Je ne peut malheuresement pas rentrer en contact avec cette personne mais je me dois de réagir.
« je pense que mes compatriotes [ ils parlent des francais] devraient venir au Québec plus souvent pour faire l’expérience du racisme linguistique anglo-montréalais ou canadien anglais pour comprendre enfin que leur soi-disant ouverture d’esprit envers l’anglais n’est pas du tout réciproquée ici ou…bien peu et pas plus dans le reste du monde ». Ce texte ecrit, malheuresement, par un francais vivant au quebec, m’exaspère et m’énerve. Ce discours stérile et réducteur entre le francais du Quebec et le francais de France m’agace. Nous avons la même langue mais pas les mêmes mots.
De plus, je crois, qu íl generalise un conflit « Toronto Montrealais » au Canada dans son ensemble. Je Penses que l’expression « canadien anglais » s’adresse plus à l’Ontario.
Malheuresment, ce blog ne me permet pas de contacter l’auteur de ses mots; je serai pourtant heureux de débattre avec lui, moi qui est vécu 4 ans au Quebec ( Montreal et Quebec) et qui suit aujourd ‘hui au bord du pacifique.
Anglisisme (réactions au propos de monsieur Jacquart)
Je soutiens pleinement les propos de Monsieur Jacquart « Pourquoi cette pratique grotesque de plus en plus répandue de nos journalistes d’employer des mots anglais au lieu du français, exemple : ce titre ridicule sur votre page d’aujourd’hui du…TALK…de Paris! Pour vous rejoindre, je dois d’ailleurs vous envoyer un …EMAIL…, alors qu’ici à Montréal, tout le monde se courrielle et envoie des courriels, mot tout à fait précis et descriptif « lorsqu’il critique l’utilisation de mots anglais par les journalistes ( voir article sur la francophonie). Je veux ajouter que parfois, l’anglais est présent et pleinement accepté par les quebecois. Il suffit de se rendre chez un garagiste quebecois pour comprendre. Pour réparer sa voiture mieux faut parler l’anglais ou posséder un bon dictionnaire.
En lisant son texte, je rigolai et pensai pouvoir retourner l’éternel arrognance reprochée aux francais à un Quebecois. Je suis triste de voir que ce texte a été écrit par un francais très arrogants.