J’ai regardé l’émission ‘pièce à conviction’ (France 3) consacrée aux anciennes mines d’uranium et aux stériles. Les faits sont bien sur inquiétants et scandaleux. La réaction d’Areva me surprend encore plus.
Malgré trois semaines de latitude, la présidente à refusé l’invitation de l’émission. Pourtant, dans son livre ‘ la 3eme révolution énergétique’, elle critique la politique passée du monde du nucléaire en affirmant que la communication doit désormais être une priorité de son groupe !
Le directeur environnement du groupe areva, habillé pour l’occasion en écologiste, en homme ‘ cool’ fait honte à la profession dont je suis membre. Il affirme que le seul dragage des bassins résout la contamination de l’eau. Je sais, par expérience, que la gestion environnementale des stériles et des anciennes mines est complexe. Elle passe par la mise en place de barrière, de système de drainage pour éviter la contamination de l’eau de surface et ou des nappes phréatiques.
Je peux enfin critiquer les lois sur la notion de stérile dans le domaine du nucléaire puisque celle-ci oublie tous les résidus ou les produits de décomposition de l’uranium (radon…)
Je ne vois pas ce qui est critiquable dans l’enquête de pièces à conviction qui révèle un problème de santé publique et le coté caché d’une politique nucléaire.
Merci Elise Lucet
This note concerns a French television documentary to the French old uranium mine and a uranium contamination concern. This report shows a major health problem and the only small’s response of the AREVA groups.
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